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Surfer Hiver/été c’est bon pour la santé, partie 2

Deuxième partie sur les bénéfices du surf sur notre santé

6 – ON DÉVELOPPE SON INTELLIGENCE MARINE

Le véritable enjeu du surf, c’est d’être fin observateur : savoir lire et déchiffrer l’océan pour, passer la barre sans s’épuiser à l’aide des courants, se placer au bon endroit pour partir sur une vague et bien la choisir en anticipant son évolution pour bien la surfer. Un bon surfeur sait lire le plan d’eau, on dit de cette personne qu’elle a le sens marin. C’est la phase d’apprentissage la plus longue. À mesure que l’on développe ce sens marin, la technique suit immédiatement : Se placer, déclencher sa rame et son redressement au bon moment deviennent des gestes instinctifs.

7 – ON STIMULE SES CINQ SENS

Le milieu aquatique dans lequel on évolue est mouvant, salé et lumineux.
Nos cinq sens sont sollicités: on touche l’eau de mille et une façons, on entend le roulement des vagues qui se brisent sur le rivage, on respire l’air marin, on goûte l’eau salée, on est ébloui par la réflexion du soleil sur la mer.
Les sensations de glisse sont d’autant plus intenses que tous les sens sont en éveil.

Pourquoi se sent-on bien au bord de l’océan ?

Le mécanisme est sans doute complexe, mais une des explications mérite un clin d’œil : en déferlant, les vagues libèrent des ions négatifs qui seraient très bénéfiques pour la santé et influenceraient positivement notre humeur et notre vulnérabilité au stress.

Scientifiquement parlant, en bord de mer, on mesure jusqu’à 100 000 ions négatifs/cm3 d’air. À titre de comparaison, dans le métro il n’y a que 3 à 4 ions négatifs/cm3 d’air !
Source : http://blog.surf-prevention.com/2009/11/24/les-ions-negatifs-de-lair-marin/

8 – SURFER EN GROUPE PERMET DE GAGNER EN ASSURANCE

Surfer tout seul est toujours un peu rébarbatif : c’est compliqué d’être spectateur de sa propre pratique pour en tirer des astuces et faire des progrès !
Alors qu’en groupe, on s’observe mutuellement, on échange des conseils (à condition de pas être susceptible) et surtout, on dédramatise les chutes et la crainte des premiers instants dans les vagues.

9 – ON EST EN PHASE AVEC L’ENVIRONNEMENT

On prend la mesure de notre place face aux éléments : la puissance de l’océan, la force implacable de la vague qui va casser sur le rivage.
Quand on prend une vague, il faut faire corps avec elle et l’utiliser plutôt que de lutter contre ou essayer de la maitriser.
Cela rend plus humble, et en même temps, le plaisir qu’on retire à pouvoir composer avec la vague pour exprimer son surf est décuplé !

10 – MOYEN THERAPEUTIQUE

Dans certaines villes, les médecins prescrivent la pratique du surf, entre autres activités physiques, aux personnes ayant un mode de vie sédentaire ou aux patients souffrant de pathologies chroniques.
D’ailleurs, certains organismes forment, en 2016, une première promotion de moniteurs à l’encadrement d’activités sportives « sur ordonnance ». La formation suivie est de qualité puisque mise en place par l’Université STAPS et fait l’objet d’un diplôme universitaire dédié aux activités sportives de santé.

Vous pouvez via ce lien, lire ce que la Fédération française de Surf en pense: https://www.surfingfrance.com/disciplines/surf/surf-sante.html

Merci d’avoir pris le temps de lire,

Bonnes vacances et fêtes de fin d’année à TOUS, bon courage aussi à ceux qui n’ont pas de répit.

!!! Toujours à bientôt dans l’eau !!!

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